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17 février 2024 6 17 /02 /février /2024 10:37

 

La chanson de Phaéton

par Roseline Giusti

         Sur l’air de Chanson pour l’Auvergnat de Georges Brassens

 

Il est pour toi ce Phaéton                                 

Du pur carat, taille à façon                             

Se mettre en quatre, c’est sa loi   

Pour habiller ta vie d’orfroi

....

A lire le texte complet dans le N°9 de la revue Phaéton

www.revue-phaeton.fr

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1 août 2023 2 01 /08 /août /2023 08:23

 

Le recueil de textes poétiques Atmosphériques de Roseline Giusti est paru.                                                 

 

 

 

Trente-sept courts récits illustrent les caprices du temps. Pluie, vent, jour radieux, brouillard, couchant, nuit étoilée, neige, canicule...autant de variations qui affectent la Nature et l'humeur des vivants.

De texte en texte, le lecteur est invité à vivre diverses situations où alternent bonheur, exaltation, nostalgie, désarroi, rêve...non sans humour.

 

…Roseline Giusti a du style et plus que ça : l’amour du monde et le désir de l’attraper et de le dire avec les mots de la prose, en autant d’instantanés …

 Les phrases sont drues, nerveuses, autant que le regard émerveillé, attendri ou inquiet. Les chutes de ces brefs récits ne manquent pas de drôlerie quand elles ne font pas partir en rêveries … 

Alain Walter, écrivain, traducteur de poésie japonaise, juillet 2023

 

C'est un beau livre. Ardent. Tendu et doux à la fois.

Marie-Hélène Lafon, écrivaine , 25 août  2023

 

Une précision du regard qui fait partager au lecteur l’émotion ressentie (...) Y contribue une richesse d’adjectifs qui joue sur toute une gamme de connotations, du familier au recherché.

Il faut bien du talent pour faire tenir dans des formes courtes tant de notations poétiques. Roseline Giusti n’en manque pas.

Patrick Rödel, écrivain, philosophe, in Rue89Bordeaux, 29 novembre 2023

 

Editions Phaéton, Collection Almandin, Bordeaux, juillet 2023

Format : 15 x 23 cm, 80 pages, illustrées de photos n&bl.   

ISBN : 9 782956 992820,

 Prix : 10 €   + frais d’envoi                                                                

En vente en librairie.

 

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1 juillet 2023 6 01 /07 /juillet /2023 09:33
André IRLINGER, luxuriance des couleurs

 

Exposition

L'Embarcadère, 19 rue Saint-Louis

81310 Lisle sur Tarn

25 juin- 2 Juillet 2023 

 

Des nappes colorées s’élancer dans l’espace de la toile, avec une vraie liberté visant à composer mille atmosphères. 

Ici, des dégradés de rose jouent avec des gammes de bleus, ou depuis peu les gris et l’estompage ont trouvé leur présence. Là, des fleurs rouges éclosent comme des feux d’artifice.
Et parfois on croit voir de luxuriants fonds sous-marins…
Le spectateur est d’emblée plongé au sein de la toile. La frontalité est abolie. L’artiste nous entraîne dans une promenade et, tel un cameraman, nous propose une suite de séquences animées.
Caractère onirique ? Oui, le rêve et ses inépuisables ressources sont le principal moteur de ces créations enivrantes.

Roseline Giusti-Wiedemann,  juin 2023

 

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24 mars 2023 5 24 /03 /mars /2023 09:31

 

[…]  Mais laissez-moi vous dire ceci, mon vieil ami : dans un monde entièrement fait pour l’homme, il se pourrait bien qu’il n’y eût pas non plus place pour l’homme. Tout ce qui restera de nous, ce seront des robots. […]                     Romain Gary, Lettre à l’éléphant, 1968

Extraits à lire dans la revue Phaéton, n°9, sept 2022

Revue Phaéton 9 rue Servandoni - 33000 Bordeaux Tel. +33 (0)5.56.15.90.68 Fax +33 (0)5.57.10.89.27 revue.phaeton@orange.fr  Facebook/RevuePhaeton www.revue-phaeton.fr

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16 décembre 2022 5 16 /12 /décembre /2022 13:30
Mayeul Irlinger Krystal, 2022

Mayeul Irlinger Krystal, 2022

Frimas de l’hiver ou sculpture sur minéral ? Les dernières oeuvres de Mayeul Irlinger surprennent.

Traces, sillons, stries, ridules, craquèlements, infimes nébuleuses en suspension… Mayeul Irlinger quitte un temps les grands panneaux colorés qu’il compose actuellement pour peindre la nature hivernale. La touche est franche, vigoureuse ou pleine de délicatesse jouant superpositions ou transparences.  Les œuvres offrent une large déclinaison de blancs, de gris, d’opalescences que des noirs profonds viennent révéler.

A moins que l’artiste nous entraîne dans un monde minéral, -roches diverses, cristal, pierres fines- laissant volontairement aux formes une certaine abstraction pour mieux révéler leur vibration sonore.

Richesses des œuvres, multiplicité des découvertes. Plasticien et musicien, Mayeul Irlinger offre une riche gamme d’interprétations.

Roseline Giusti-Wiedemann

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7 novembre 2021 7 07 /11 /novembre /2021 19:43

Pour garder trace du Cabaret (dégustation vocale et culinaire) de Territoires de la voix (musique contemporaine, Direction : Valérie Philippin) du 3 10 2021 au Garage moderne, lieu alternatif à Bordeaux-Bacalan :  

Pastiche par Roseline Giusti de la chanson de Barbara L’homme en habit rouge.

 

Voix en tabliers jaunes

Sont venus, on ne sait                 
D'ici, là-bas, de mille lieux, de toutes parts,

Des ailleurs, les plus fous,                  
Nous, on les avait nommés voix en tabliers jaunes,

De cristal et de feu,

Comme des boules arrachées, comme dérobées au chœur céleste.

Fabuleux, ils chantaient,        
S’avançant vers le public, voix en tabliers jaunes.  

*Ils s’étaient rencontrés, nul hasard,

Sur une planète un rien bizarre.

Ils tressaient des sons aux timbres étranges,

Et qui semblaient appartenir aux anges.

Qui sont-ils, d’où viennent-ils ?
Merveilleusement apparus, dites-nous, dites-nous, dites-nous, 

D’autre part, de toutes parts,
Dites-nous, quel est votre pays, voix en tabliers jaunes

*Ils ont dit venez, nous vous ferons connaître    

Ce pays d’où vous pourrez enfin naître.

Et fusaient des sons aux teintes étranges,

Et on a cru entendre gronder les anges.

Fascinés, envoûtés,

Nous les avons suivis, ceux-là en tabliers jaunes.

Nous chantions tout près d’eux,

Or et velours et sur le cœur, des pavots jaunes,  

De cristal et de feu,

Fleurs éclatées comme l’amour à la lumière.

On suivait, on aimait,

Avec eux, se vivait la vie en tabliers jaunes.

*Puis ils ont disparus, au soir

Pour des planètes encore plus bizarres, 

Enveloppées de sons aux timbres étranges.    

Ont-ils fini par rejoindre les anges ?

Apparus, disparus,

Magiciens, vrais malins, surgis au crépuscule,

Rendez-nous, les voix qui

Paraient nos vies en sons de feu de pavots jaunes.

Nos habits se ternissent,

Nos voix se fanent et ont perdu leur lumière.

Rendez-nous, les voix qui

Faisaient nos vies en sons de feu de pavots jaunes.

Voix en tabliers jaunes,

Voix en tabliers jaunes…

 

Roseline Giusti, 11 octobre 2021

 

 

Barbara  : L’Homme en habit rouge

Il venait, je ne sais,
D'ici, là-bas, de n'importe où, de nulle part,
Et d'ailleurs, on s'en fout,
Nous, on l'avait appelé l'homme en habit rouge,
De cristal, et de feu,
Comme un ciel éclaté comme l'aurore à la lumière,
Fabuleux, il marchait,
S'avançant dans le soleil, l'homme en habit rouge,
Je l'avais rencontré là, dans un bar,
Sur une planète vraiment bizarre,
Il fumait des fleurs aux parfums étranges,
Et qui semblaient l'envoyer jusqu'aux anges,
Qui es-tu, d'où viens-tu,
Miraculeusement apparu, dis-moi, dis-moi, dis-moi,
D'autre part, de nulle part,
Dis-moi, quel est ton pays, l'homme en habit rouge,
Il m'a dit viens, je te ferai connaître,
Ce pays d'où tu pourras enfin naître,
Et j'ai vu des lacs aux couleurs étranges,
Et j'ai cru entendre chanter les anges,
Fascinée, envoûtée,
J'ai suivi l'homme, celui-là en habit rouge,
Je marchais près de lui,
Rubis, velours, et sur le cœur des pavots rouges,
De cristal et de feu,
Fleurs éclatées comme l'amour à la lumière,
J'ai suivi, j'ai aimé,
Avec lui, je vivais ma vie en habit rouge,
Puis il a disparu un soir,
Pour une planète encore plus bizarre,
Parfumée de fleurs aux parfums étranges,
Il a fini par rejoindre les anges,
Apparu, disparu,
Magicien du matin, surgi de la lumière,
Rendez-moi, l'homme qui,
Faisait ma vie en fleurs de feu de pavots rouges,
Mon habit se ternit,
Mes fleurs se fanent et j'ai perdu ma lumière,
Rendez-moi, celui-là,
Qui venait, je ne sais,
D'ici, là-bas, de n'importe où, de nulle part,
Rendez-moi, l'homme qui,
Faisait ma vie en fleurs de feu de pavots rouges,
L'homme en habit rouge,
L'homme en habit rouge...

 

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26 octobre 2021 2 26 /10 /octobre /2021 14:43

Domaine de Certes

Ton pas est lent et doux sur le sentier sablonneux

Bassins, roselières et prés salés à perte de vue

Les miroitements de l’eau tiennent ton regard hypnotique

Un héron cendré, une aigrette surgissent

Le voilà distrait un instant

*

Tu t’arrêtes soudain, net

A tes pieds une forme ailée, élégante

Taille fortuite dans un bout de plastique

On croirait un Braque ou un papier découpé de Matisse

*

Détritus l’oiseau azur,  échoué là sur le sol ?

Fais écart

N’entrave pas le vol

Du volatile sublime

Tout de rebut

                                                                            Roseline Giusti, Août 2021

L'oiseau de rebut, Photo : Roseline Giusti, 15 4 2017

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11 octobre 2020 7 11 /10 /octobre /2020 14:16

Mon article 

Bertrand Nivelle, l'imaginaire fertile d'un architecte vient de paraître dans la Revue Phaëton. Sept pages illustrées présentent cet architecte bordelais à la créativité féconde et aux réalisations remarquées et récompensées.

"Pensés comme de véritables outils visuels, le dessin, la maquette, la sculpture sont au coeur même de sa conception et de sa pratique architecturale. L'eau est la substance privilégiée de son monde intérieur, peuplé d'images oniriques.

...

Regardons-le dessiner. A la main, alla prima. Pour écran, le papier : feuille de carnet de croquis, vélin d’Arches ou doux japon …Pour logiciel, son esprit fertile, nourri de références littéraires, artistiques, cinématographiques… Pour seul nuancier, ses godets d’aquarelle où s’abreuve un pinceau délicat. Regardons-le sculpter. Pour seule imprimante 3D, des volumes en carton, en papier huilé ou en terre cuite, façonnés de ses mains habiles. Nous voici pris dans la houle des hautes mers, livrés aux remous capricieux des fleuves ou rêvant dans les méandres alanguis des esteys[1]. On croise des villes océanes en forme de paquebot ou de frêles embarcations. Sur les eaux plus paisibles du Bassin d’Arcachon, les maisons sur pilotis épousent le tracé du paysage environnant : Cabane La Tchanquée[2], Maison de l’oiseleur, Maison des passes…"

...

RG

 

[1].Esteys (du gascon  ruisseau) : partie d'un cours d'eau qui, soumis au régime des marées, se trouve à sec à marée basse.

[2] Cabane tchanquée : cabane en bois perchée sur pilotis, typique du bassin d'Arcachon

Revue Phaëton, Bordeaux, oct., 2020. En vente en librairie au prix de 20 E.

www.revue-phaeton.fr

Bertrand Nivelle, Volcan, aquarelle, 1990

Bertrand Nivelle, Volcan, aquarelle, 1990

Bertrand Nivelle, Salle gymnique du lycée sud-Médoc, Le Taillan-Médoc, cl. Alain Benoît, agence DEEPIX, photogr

Bertrand Nivelle, Salle gymnique du lycée sud-Médoc, Le Taillan-Médoc, cl. Alain Benoît, agence DEEPIX, photogr

Bertrand Nivelle, Maison de l'oiseleur, aquarelle, 1998

Bertrand Nivelle, Maison de l'oiseleur, aquarelle, 1998

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31 juillet 2020 5 31 /07 /juillet /2020 07:25

« Avec ses personnages de Comics populaires caractéristiques et leurs couleurs stridentes appropriées, les immenses toiles de Cyrill Perrot campent un décor américain typique, immédiatement identifiable.

Mais l’examen attentif des œuvres dévoile aussi la référence à des moments forts de l’histoire de la peinture européenne, en particulier la Renaissance et le Romantisme. Toute l’originalité du travail de Cyrill Perrot réside dans ce jeu de tensions entre ces univers distincts. Lorsque les superhéros prennent la pose, ils le font à la façon de personnages de la grande peinture. Ainsi la toile dénommée Sur les quais est une Pietà, Manhattan fait signe aux fresques de Michel-Ange à la Sixtine, Harlem à La Lutte de Jacob avec l'Ange de Delacroix, etc.

Quant à la signification, elle est riche et pertinente :

Les “décombres du rêve américain” servent de terreau à la dénonciation de la violence planétaire actuelle, quotidiennement répétée. Ce sont ces déchaînements et la dégradation consécutive de l’environnement que Cyrill Perrot entreprend de dénoncer avec de talentueux acquis de plasticien. »

Roseline Giusti

 

Centre d'art contemporain Raymond Farbos

1 bis, rue Saint-Vincent-de-Paul
40000 Mont-de-Marsan

05 58 75 55 84

 

contact@cacdeslandes.com

 

Du mercredi au samedi de 14 h à 18 h, le samedi matin de 10 h à 13 h

Entrée : 2 € 

jusqu'au 5 septembre 2020

 

Cyrill Perrot

Cyrill Perrot

Cyrill Perrot

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28 mai 2020 4 28 /05 /mai /2020 16:00

Roseline Giusti :

Le Festin, N° 25, février 1998, pp.99-101  « René Pavageau, designer »

Le Festin, N° 31-32, automne 1999 : p.99  «La Maison du Tonkin de Le Corbusier » ; p.138 « Vivre la transparence, Bertrand Nivelle, architecte » ; p.164 »Antre-atelier pour artistes sorciers, Jacques Franceschini et Béatrice Hazard » ; p.166 « Habiter la couleur, Vassilis Kaffetzakis, designer ».

Le Festin, N° 33, 2000, pp. 106-109 : « Entrez, vous êtes chez vous, Pierre Cruège, architecte d’intérieur ».

Le Festin, N° 35-36, 2000, p. 153 : « Le verre qui avait deux têtes, le verre qui avait deux pieds », poème [à propos du designer italien A. Castiglioni].

Le Festin, N° 38, été 2001, p. 100-101 : « V. Bécheau et M.L. Bourgeois designers ».

Le Festin, N° 41, printemps 2002, p. 88-89 : « Didier Garrigos, celui qui facilite la vie » [designer industriel aquitain].

Le Festin, N° 43, automne 2002, pp. 150-151, "Fleur de Boulange, Friandises",( 2 nouvelles) ; pp. 174-178 : « A table » [les designers aquitains des arts de la table].

Le Festin, N° 44, janvier 2003, p. 90 : « Les vêtures d’Aline Ribière ».

Le Festin, N° 47, septembre 2003, p. 168 : « Olivier Meyran, designer de marine ».

Le Festin, N° 49, avril 2004, " V. Bécheau & M.L. Bourgeois, Nestor Perkal et Matthieu Perez, designers"..

Le Festin, N° 50, juin 2004, p. 16 : « Jacques Bernar, l’éveilleur de matière ».

Le Festin, N°51, septembre 2004, p.8 : « Aline Ribière ou  la traversée du textile ».

Le Festin N°54, été 2005, pp.96-98 : « Jeux de robes »

Le Festin, N° Hors série Bordeaux, l’art du vin, p.12, « Le vin, l’audace ».

Le Festin N°56, hiver 2006, p.56 « Lumières de Vianne » ; p.30 « Vincent Poujardieu, designer Vincent aux mains d’argent » ; p.123 note de lecture : Louise Gabriel, "Le sommeil d’Anna ».

Le Festin N°58, été 2006, p.24 « Nontron, lame des champs, lame des villes » (le couteau du designer Olivier Gagnère) ; p.124, notes de lecture  : Chantal Detcherry, « En ce jardin où je m’avance » ; Marie Bruneau, Bertrand Genier, (graphistes)  « Travaux en cours ».

Le Festin N°59, automne 2006, p.4 « Sylvain Dubuisson, architecte-designer » ; note de lecture, p.106 : Louise Gabriel « Histoires peu ordinaires d’Arcachon ».

Le Festin N°60, hiver 2007, p. 30 « Le makhila basque » ; p.60 « La dame aux papiers peints ».

Le Festin N°61, printemps 2007, « Guillaume Toumanian, "L’arbre et son double » ; notes de lecture : « Chansons d’Aquitaine » ; Louise Gabriel « Nouvelles peu ordinaires de La Rochelle ».

Le Festin N°63 automne 2007, pp. 38-43 "Périple en terres de feu" ; pp. 50-55, "Paul Chambost, céramiste nouvelle vague".

Le Festin N°64, hiver 2008, p.6 "Nontron, Pique-nique à l’italienne" (Stephania di Petrillo, designer ; note de lecture p. 109 "La nuit se sauve par la fenêtre", Brigitte Giraud, poèmes)

Le Festin N°65, printemps 2008, p.8 "Des objets amoureux" (Artdeshom), p.10 "Vivons design" (trophées du design) pp.60-63, "Patrimoine et design, la méthode Nontron" ; pp.68-69, "La folie des indiennes" (Aline Ribière et Chantal Raguet)                                                                                           Le Festin N°66, Eté 2008, pp.42-45, "Chic l’espadrille !" (fabrique Pare Gabia).

Le Festin N°66, Automne 2008, pp.24-27, "Les facéties de Matali Crasset, designer" ; pp. 84-87, "L’homme qui aimait les maisons", Didier Garrigos, designer.

Le Festin N°69 Printemps 2009 "Parcours de designers" (Nathalie Blanc, Emmanuel Gallina, Vincent Poujardieu, Anne Xiradakis), pp.120-125.

Le Festin N°72, hiver 2010, p. 16, "Suave assise", La chaise tout chocolat de Vincent Poujardieu.

Le Festin N°73, printemps 2010, pp. 78-81, "Le design cultive sa forme" (Agora mobilier, Agen).

Le Festin N°77, hiver 2010, p.16 pp.42-47, "Histoire de meubles" (mobilier basque design Alki et Sokoa)

Le Festin N°82, été 2012, pp.70-75 "Arrêt sur objets" (Exposition Design A Cappella, Agen, 40 designers)

Le Festin N°85, printemps 2013, pp.104-105, "Samuel Accoceberry, (designer) des objets malins et libérés »

Le Festin N°88, hiver 2014, pp.120-121 "Constance Rubini, le bel aujourd’hui" (Musée des arts décoratifs de Bordeaux MAD)

Le Festin N°89, printemps 2014, pp.120-121, "Wilfrid Jolly, (designer-orfèvre) la transfiguration du métal".

Le Festin N° 93,  printemps 2015, p.25 note de lecture : Henri Lefebvre, Les Communautés paysannes pyrénéennes.                                                                                                                            

Le Festin N°107, automne 2018, pp.100-105, "Courrèges en droites lignes" (un couturier d’avant-garde) ; pp.116-117  "Du mobilier contemporain « made in Pyrénées » (Versant, éditeur de mobilier design).

 

N° spécial 101 objets et symboles qui racontent Bordeaux, pp.68, "Lanternes bordelaises" (jardin des lumières, pont de pierre, candélabres Palombus) ; p.97, "Presse à homard du Grand hôtel de Bordeaux".

Soit 42 articles, 8 notes de lectures, 1 poème et  2 nouvelles  (sous le pseudonyme de Marie-Christilla) 

 

 

 

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